Ce mercredi après-midi et mercredi dernier, Pierre Patron et Jordan Leborgne puis Kapo Sylva, Ahmed Soilihi, Yankuba Jarju et Samuel Come Ruiz ont mis leurs crampons de côté pour une rencontre bien différente de celles qu’ils vivent sur le terrain. Ils se sont rendus à la résidence Autonomie Gustave-Flaubert de l’agglomération rouennaise pour partager un moment privilégié avec les résidents autour de jeux de société, d’exercices de motricité et d’échanges chaleureux.

Accueillis avec enthousiasme par les pensionnaires et le personnel de l’établissement, Pierre Patron et Jordan Leborgne ont pris place autour des tables pour des parties de Uno, Triominos et bien d’autres jeux encore. Entre rires et complicité, les joueurs et les résidents ont pleinement profité de ce moment de détente. Les parties se sont enchaînées dans une ambiance conviviale, où chacun a pu partager son plaisir du jeu et échanger chaleureusement.
Ensuite, ce mercredi, accompagnés par l’équipe encadrante et Florence Dalprat, les autres joueurs ont participé à une séance de Brainball, une activité alliant exercices physiques doux et stimulation cognitive. Les résidents, ravis de cette visite, se sont prêtés au jeu avec enthousiasme. Le Brainball, qui mêle coordination, mémoire et agilité, a permis de créer des échanges naturels entre générations. Les joueurs de QRM, habitués aux défis sportifs, ont su adapter leur énergie pour encourager et accompagner les résidents.
Après l’effort, place au réconfort ! L’après-midi s’est poursuivi autour d’un goûter convivial, permettant de prolonger les discussions. Chouquettes, boissons chaudes, jus et madeleines, créant une atmosphère chaleureuse et familiale.
Cette initiative s’inscrit pleinement dans les actions solidaires menées par QRM, soucieux de renforcer son rôle d’acteur social local. Le club multiplie les actions de proximité pour tisser des liens entre les générations et faire du football un vecteur de solidarité. Une après-midi qui prouve une fois de plus que le sport dépasse largement les frontières du terrain et qu’il peut être un formidable outil de partage et d’inclusion.